Dernières réponses | | Soyez certains qu'il existe encore d'honnêtes gens qui la ferai pour que chacun des siens soit bien, y compris les "autres" qui pensent comme eux. Tout le monde n'est pas avide de pouvoir et d'honneur, mais certains auraient le courage et l'envie de changer bien des choses. Ma santé morale n'est pas pourrie par l'argent avec mon RMI. J'arrive quand même à m'amuser de ma condition et parfois, aussi, à me moquer de moi. Il ne s'agit pas de tuer ou de se venger, mais simplement de remettre certaines choses dans un ordre moral et logique que nous avons quitté depuis pas mal de temps. Regardez autour de vous, beaucoup sont en détresse, aidez-les avec le peu de moyen que vous avez ! La corruption, c'est l'argent ! Je suis vicieux, mais je considère mes chiens parfois mieux que certaines personnes que je connais qui ne font rien pour m'aider. Souvent ces derniers viennent me voir pour un service et sont toujours bien reçus. Allez comprendre ? La pudeur et la discrétion sont des armes redoutables alors qu'elles sont régulièrement prises pour du mépris ou de l'ignorance. |
| | papymougeot a écrit :
Bonjour Il faut se méfier quand même des révolutions !! Notamment celle de 1789 fut plutôt une révolution de bourgeois que du bas peuple ( la France d'en bas) . C'est la bourgeoisie friqué avide de pouvoir qui a manoeuvrer le peuple conte la monarchie J'ai lu qu'en définitive il n'y avait dans la prison de La Bastille que 2 ou 3 prisonniers..... Exact : 1 pour dette de jeux impayés et 1 alcoolique qui cuvait Puis, tout ne fut pas rose (sans jeu de mots) 1793 fut quand même une années ou tombèrent beaucoup de têtes, qui n'étaient pas toutes couronnées ! plus de 100 000 exécutions Celà m'a toujours donné l'impression qu'il y eut plus de règlements de comptes que d'essayer à sauver quoi que se soit ! et c'était un moyen de se débarrasser duconjoint génant aussi Un peu comme en 1944/45 la fameuse "Epuration". Je suis persuadé que plus de la moitié des morts furent des vengeances de voisinage.... Prouvé, c'est pour cela que l'état refuse la communication des lettres de dénonciations Et jusqu'à présent dans l'histoire les révolutions n'ont guère amenées le bonheur des peuples......Même la nationale sous Pétain -/- C |
Quand je dit révolution, peut être pas un nouveau 1789, 1830 et 1848 ont été aussi des révolutions moins sanglantes et plus éfficaces au niveau politique |
| | Bonjour Il faut se méfier quand même des révolutions !! Notamment celle de 1789 fut plutôt une révolution de bourgeois que du bas peuple ( la France d'en bas) . J'ai lu qu'en définitive il n'y avait dans la prison de La Bastille que 2 ou 3 prisonniers..... Puis, tout ne fut pas rose (sans jeu de mots) 1793 fut quand même une années ou tombèrent beaucoup de têtes, qui n'étaient pas toutes couronnées ! Celà m'a toujours donné l'impression qu'il y eut plus de règlements de comptes que d'essayer à sauver quoi que se soit ! Un peu comme en 1944/45 la fameuse "Epuration". Je suis persuadé que plus de la moitié des morts furent des vengeances de voisinage.... Et jusqu'à présent dans l'histoire les révolutions n'ont guère amenées le bonheur des peuples......Même la nationale sous Pétain -/- C |
| | Je dit tous ls jours il faut une révolution |
| | Quoiqu'il en soit, nous sommes tous des échantillons d'hommes auxquels on applique le traitement que l'on veut ! Meurtre, génocide, essais en tous genre (pharmaceutiques et tant d'autres). Où que vous soyez, ne vous faites pas d'illusion, vous êtes la cible et eux les tireurs. Je me demande parfois si même une TRES GRANDE REVOLTE les feraient trembler ??? Le pouvoir, l'argent, le mensonge, le cynisme, la technocratie délirante, l'avidité, le mépris sont le lot de tous les dirigeants qui arrivent au pouvoir. C'est la triste réalité de bien des états dont le nôtre que je dénonce cette nuit sans frémir un seul instant. Si ils ne nous détruisent pas, le crabe que nous avons chacun en nous le fera pour eux. Aucune chance d'en sortir. A moins que... Nous ne prenions notre courage à deux mains et agissions comme nos ancêtres l'ont fait pour sauver une ou deux générations de descendants. Le terme est échu. Allons-y !!! |
| | Salut papy IL ya plusieurs façons de créer un génocide . Prenons l'exemple des laboratoires pharmaceutiques a propos de ces pays que tu sites plus haut et bien d'autres. Ces derniers ne veulent en aucun cas pour une questions d'argent leurs donner des médicaments génériques .Je trouve cela honteux également. Bonne semaine a tous |
| | "La Passion" Le coup de l’antisémitisme sentant un peu le ranci, la police de l’a-pensée a trouvé un autre argument contre "La Passion" de MeI Gibson : la violence. Ah, ça, la violence, les journalistes n’aiment pas . Le sang, les coups, les cris des victimes, les hurlements des bourreaux, la souffrance, la mort. Hou ! Quelle horreur. « C’est l’Evangile selon le marquis de Sade » . Même les journaux cathos ne savaient pas que la Passion de Notre Seigneur avait été une abomination. Un peu sévères les chefs du Sanhédrin, un peu emportés les Romains, d’accord. Mais ça n’était quand même pas le massacre des bébés phoques. Et puis voilà Gibson avec ses images. Dangereuse confusion. Redoutable amalgame. Alors on mobilise, on s’indigne et on théologise : « A trop représenter la violence, on risque aussi d’engendrer la violence. Bref, on a compris. "Libération" en a assez de la violence à l’écran. Mais, dans le même temps et dans le même journal, on parle de deux autres films. Des films sur les atrocités du Rwanda il y a dix ans. Et là, le ton change. Plus question de dénoncer la violence. Au contraire : elle est nécessaire, elle est salutaire puisqu’elle démontre que le blanc et plus précisément le catholique est encore et toujours coupable de tout ce qui va mal en Afrique. Alors à propos de "Sometimes in April", du réalisateur haïtien Raoul Peck et de "Hotel Rwanda" de Terry George, Libération se lâche : « Les situations qu’il met en scène sont d’un réalisme tellement poignant que certains des cinq à six mille figurants (dont la plupart ont vécu le génocide) se croient projetés dix ans en arrière, comme ces rescapés tutsis qui, lors d’une scène de sauvetage, ont répété machinalement des gestes enfouis au fond de leur mémoire. Ou, cette femme, par hasard sur les lieux de tournage, qui a cru avoir reconnu le corps de son époux mort il y a dix ans alors qu’il s’agissait d’un faux cadavre. Il a fallu près de deux heures pour qu’elle retrouve ses esprits ». Et plus loin : « Dès le départ du convoi, un groupe de "génocidaires", machettes, grenades et gourdins garnis de clous rouillés à la main, se dirigèrent vers eux pour les massacrer impitoyablement (...) La machette à la main, les miliciens chantent. D’un coup de grenade, ils font exploser le portail de l’école, s’engouffrent à l’intérieur. Les jeunes filles de l’internat n’ont pas voulu se diviser entre Hutues et Tutsies, comme le leur intimaient les miliciens. Elles seront toutes massacrées, sans distinction. Du coup, l’équipe du film se trouve quotidiennement confrontée à des scènes d’un réalisme déroutant ». La différence entre "violence insoutenable" et "réalisme déroutant" c’est tout l’art de la propagande médiatique. Car, pour ce qui est du Rwanda, nulle violence n’est excessive ; rien n’est trop sanglant pour démontrer l’horreur de la post-colonisation et de l’évangélisation catholique, coupables de toutes les horreurs. C’est de l’Histoire, pas vrai ? « J’ai laissé tourner, sans rien dire (...) L’Histoire se déroulait autour de nous, c’était incroyable. On a dépassé le stade d’un film... » Conclusion : « Maintenant, le monde entier va savoir ce qui s’est vraiment passé au Rwanda ». Bien sûr : le monde doit savoir ce qui s’est passé voilà dix ans au Rwanda; mais il vaut mieux qu’il ignore ce qui s’est passé il y a vingt siècles à Jérusalem. On comprend bien pourquoi... Article de F.Brigneau "France-courtoise" |
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