| Dernières réponses | |  Une famille brisé par la bétise de petits cons.
Même si ils sont condamnés a 30 ans de prisons, le père ne reviendra plus.
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| | plus rien n'a maintenant d'importance.J'ai rencontré par le plus grand des hazards ily a 2 jours au magasin U DE BRIE COMTE ROBERT, le beau père de Patrice Cambron, cet homme était révolté et pensait que l'assassin ou les assassins seraient libre rapidement. les petits enfants seront élevés par la famille restant en vie!!!!!J'ai vu dans les yeux de cet homme une grande souffrance ,je lui ai dit que j'etais solidaire ....mais ce ne sont, que des mots. Quelle tristesse!!!!! AMILO
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| | Effectivement ces faits divers sont devenus une routine dans notre pays, puisqu'ils ne succitent pas plus d'intérêts !
Un chien écrasé mettrait au moins en émoi la SPA !!!!!
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| | A Dreux il ya 4ans un fait simillaire c'est produits ,rien dans les journaux
Un accident de la route,une femme bléssée, dans l'autre véhicule un homme mort;Ils sont descendus des cités,une quinzaine,ils ont arraché
les bougdoreilles de la femme et piller les deux véhicules.
C'est les pompiers qui ont dût les faire partir a coup de lance à incendie
Bonne soirée
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| | Patrice Cambron, 38 ans, père de deux enfants, citoyen de Savigny-le-Temple (Seine-et-Marne), est mort lundi matin suite à un coma. Il avait été frappé à mort par une bande de "jeunes" parce qu'il voulait récupérer un vélo volé.
A notre connaissance, seul "Le Parisien" fait part de cette information scandaleuse dans cet article. Il semble que ce genre de "faits divers" n'intéresse ni les médias nationaux, ni les agences de presse, ni nos ministres.
Pour respecter le "copyright" du Parisien, nous nous contenterons de résumer l'article.
Le 29 avril, deux vélos ont été dérobés dans le garage de l'immeuble de la victime : celui de sa fille et celui de sa femme. Le lendemain, Patrice voit passer l'un des vélos et essaie de rattraper le voleur. Dix minutes plus tard, son épouse le retrouve, titubant, blême et maculé de sang. La victime est ramenée à la maison. Les secours constatent "une bosse, « grosse comme un oeuf de poule » sur la tempe" de Patrice, qui dit "avoir été frappé « avec une barre de fer »".
Transport à l'hôpital, coma, constat de trois fractures crâniennes, double intervention chirurgicale. Décès.
La mort de ce père de famille, très impliqué dans la vie locale du petit village de Saint-Fargeau-Ponthierry, jette la consternation. le maire constate : "La violence n'a pas de limite. Patrice est mort pour un vélo. Il faut que justice soit vite rendue.".
Les gendarmes enquêtent à partir de l'un des vélos volés, retrouvé dans une déchetterie. Deux personnes ont été arrêtées puis relâchées. Le parquet a ouvert une information judiciaire contre X.
Ce "fait divers" aurait fait "la une" des journaux nationaux et télévisés il y a 20 ou 30 ans, avec déplacement de ministres à l'appui. Aujourd'hui, seule la presse régionale parle de ce type d'agressions sauvages et quasiment quotidiennes. La barbarie la plus ignoble est banalisée.
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