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pauthina
Les gens qui votent pour eux "çà " ils ne le voient pas !!!!

c'est l'art et la manière d'embobiner les électeurs !!

Dès qu'ils perdent un peu de voix, ils ressortent les bons vieux sujets écolos, pour l'avenir de nos enfants !!!
@++++
blaireaux

Les gens voient parti vert = pas pollution, plages propres, contre le nucleaire, couche ozone etc... pas plus LOIN

En 8 jours en méditérannée c'est les seules Dauphins que j'ai apercu
Il y en avait vingt milles répertorier il ya 5ans.Ils sont passer OU?
Avant j'en voyait tous les jours.Mais les dauphins c'est pas médiatiques .Alors ils préférent marier les homos.Et s'occuper
de César.A+
pauthina
papymougeot a écrit :



Je suis encore surpris qu'un parti si anti-national fasse encore 5 à 6 % aux élections !


Simple les gens votent bien souvent pour une idée de surface et non sur le fond du parti en question.

Les gens voient parti vert = pas pollution, plages propres, contre le nucleaire, couche ozone etc... pas plus loin !!!



papymougeot
Merci Osci pour ton développé.

Mais en ce qui concerne les prises de positions de ces fameux "verts" aujourd'hui en Europe, ils me répugnent de plus en plus.

Ils n'ont AUCUN esprit national bien au contraire. Eux c'est plutôt le parti de l'étranger ....rien n'est plus beau que l'étranger !!! On se demande d'ailleurs ce qu'ils foutent encore en France !!!!


Je suis encore surpris qu'un parti si anti-national fasse encore 5 à 6 % aux élections !
petitpapanoel
Ce que je retiens de ceci, c'est que les bonnes idées, d'ou qu'elles viennent, sont systématiquement perverties par l'appétit de pouvoir d'une minorité.

C'est dans la nature de l'homme.

Dommage.



@+
oscillatine
Il n'est pas très étonnnant que l'on retrouve en France d'anciens de la mouvance communiste révolutionnaire chez nos verts.
Les deux courants avaient des affinités certes accrobatiques mais réelles du temps de leur naissance.

Si l'on remonte aux années 1900, certains Allemands commencent à élaborer de nouvelles manières de vivre en rapport avec les progrès scientifiques, la fin du romantisme, et le bouleversement des croyances. C'est la période du positivisme où la science se porte garante d'un meilleur avenir grâce à la raison, et à la dénonciation de l'aspect dérisoire et trompeur des croyances religieuses (une sorte de Renaissance moderne). Deux courants se développent alors : l'écologie et le communisme.
Dans le premier, on recherche avant tout à renouer avec une nature reniée par la religion. L'idée maîtresse semble être de se fier à l'expérience, au raisonnement, au fonctionnemnet de la nature au lieu d'imposer une vision religieuse aux phénomènes. Ainsi naîtront la danse contemporaine, les exercices naturistes, le design (Bauhaus), la recherche du fonctionnement de la pensée, la chimie des matériaux, etc. (les Russes inventent une forme architecturale dès 1905 qui sera celles de nos HLM actuels).
Dans le second, il s'agit de remettre l'humain au centre de la réussite sociale par des moyens scientifiques, et non plus par des lois séculaires religio-traditionnelles. Exit l'idée de catégories sociales, fi de la culture réservée à l'élite : l'humain est l'humain, n'importe qui doit se réaliser dans la connaissance de son environnement et le développement de sa reflexion. Marx redéfinit le travail et sa valeur, et conçoit une société régie par la rigueur des mathématiques (agriculture raisonnée, production rationalisée, etc.). C'est le communisme qui aboutit à la révolte des ouvriers.


Malheureusement, et comme toujours, les idées novatrices seront reprises par quelques opportunistes à seules fins de pouvoir. Naissent des révolutionaires argneux dont le but se borne à instaurer un communisme par la force ; apparaissent des obsédés de l'hygiénisme naturel avec cette bête idée d'un surhomme --mauvaise interprétation d'un Nietzsche trop novateur-- choisi selon des critères qui se prétendent naturels (évolutionnisme lamarckien, anthropométrie, qualités physiques, etc.).
Les conséquences se nomment révolution bolchévique, eugénisme US et scandinave, nazisme, racisme, etc.

Après la seconde guerre mondiale qui a jeté les bases d'une nouvelle manière de commercer et de se développer (aviation civile, publicité logographique, logistique, production de masse...), les sciences et technologie sont perçues comme d'horribles disciplines aboutissant aux dictatures. La vie robotisée du Tout voué au commerce, les nouveaux principes de consommation et le rythme abominable demandé aux ouvriers relancent le communisme et l'écologie.
Cette fois il est question de contrer une saturation d'artificialité, d'un progrès qui évolue trop vite par rapport aux populations : on veut prendre du recul, s'occuper de soi, s'épanouir : c'est le (énième) retour au naturel. On veut garantir des salaires corrects aux ouvriers, c'est le néo-communisme. La Nature est vécue comme juste comparée à la technologie qui avilie l'homme. Communisme et écologie se rejoignent.

Paradoxalement, alors que l'idée consiste à s'éloigner de ce qui entrave le développement humain, la bonne santé physique et mentale, la plupart des militants se dirigent vers de la mystique primitive, des drogues, des pratiques dont les conséquences seront souvent assez ennuyeuses (cancers de la peau, aliénation mentale, malnutrition, etc.).
Le grand ennemi demeure USA, symbole de la puissance technologique et économique, opposée à l'Union Soviétique, symbole de l'épanouissement intellectuel et humain. En réalité le communisme appliqué s'avère néfaste pour l'environnement autant que pour l'humain : ses dogmes sont tout aussi sévères que le puritanisme US avec en prime interdiction formelle de contre-dire le pouvoir. Dans le même temps, le développement de l'écologie gauchisante a permis aux USA d'être les précurseurs de mesures d'économie d'énergie, de mesures antipollution, bien avant l'Europe. (Pots catalytiques dès 1985).
En France, où règne l'existencialisme, l'apport des rouges-écolos n'a semblé être que la profusion de films pornos, et de quelques bons écrivains.

Lorsque le courant aux US s'est apaisé, le jeune citoyen américain pensant tout de même à son avenir, les européens se sont retrouvés isolés, ce qui radicalisera certains vers l'aspect révolutionnaire violent.
Tandis que les hippies deviennent goldenboy ou pdg, nos jeunes révolutionnaires tentent d'imposer la destruction de tout système productif (meurtres en Italie, reniement de l'industrie française sous couvert d'écologie, etc.).
Alors qu'aux USA l'écologie (ou en Allemagne, proche des US) est considérée comme une démarche citoyenne, en France elle conserve cette image de révolutionnaire attardé... C'est ainsi de Cohn Bendit est obligé de s'exiler en France pour faire de l'écologie, et que Oscar Lafontaine (Grüne) porte de beaux costumes à l'ONU lorsqu'il représente l'Allemagne. C'est ainsi également que le président de Virgin ancien hippy garde ses idées à jour sur l'écologie (il se ballade en sandales).

Chez nous on les retrouve au PC, au PS, puis dans un parti qui traîne à 5-6 % et duquel on n'entend que rarement parler d'écologie.

Osci.

papymougeot a écrit :

Les Verts interpellent le Président de la République et le Premier
Ministre au sujet de Cesare Battisti et de l'ensemble des réfugiés
italiens.

Les Verts expriment leur indignation face à l'arrestation de Cesare
Battisti.

Qu'est ce que Cesare Battisti a à voir avec l'écologie ?

Il y a en France des gens que l'on devrait enfermer dans des asiles de
fous. Comment les « verts », c'est-à-dire des gens se disant écologistes, peuvent-ils défendre Cesare Battisti, une ordure qui a tué de sang froid quatre personnes, qui en a handicapé une à vie et qui a commis plus de soixante braquages !

Qu'est ce que cette ordure à a voir avec l'écologie ?

Les verts ne peuvent-ils pas s'occuper d'écologie plutôt que de se
contenter de recycler des vieux déchets de mai 68.
En dehors de leurs slogans dignes de gardes rouges et de leur idéologie préhistorique : c'est nous les gentils (antifascistes, écologistes), vous êtes les méchants (fascistes, pollueurs), ils n'y a rien a espérer d'eux.

Mais qu'est-ce qui leur prend de vouloir toujours relâcher des assassins ?

papymougeot
Les Verts interpellent le Président de la République et le Premier
Ministre au sujet de Cesare Battisti et de l'ensemble des réfugiés
italiens.

Les Verts expriment leur indignation face à l'arrestation de Cesare
Battisti.

Qu'est ce que Cesare Battisti a à voir avec l'écologie ?

Il y a en France des gens que l'on devrait enfermer dans des asiles de
fous. Comment les « verts », c'est-à-dire des gens se disant écologistes, peuvent-ils défendre Cesare Battisti, une ordure qui a tué de sang froid quatre personnes, qui en a handicapé une à vie et qui a commis plus de soixante braquages !

Qu'est ce que cette ordure à a voir avec l'écologie ?

Les verts ne peuvent-ils pas s'occuper d'écologie plutôt que de se
contenter de recycler des vieux déchets de mai 68.
En dehors de leurs slogans dignes de gardes rouges et de leur idéologie préhistorique : c'est nous les gentils (antifascistes, écologistes), vous êtes les méchants (fascistes, pollueurs), ils n'y a rien a espérer d'eux.

Mais qu'est-ce qui leur prend de vouloir toujours relâcher des assassins ?
 
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