Dernières réponses | | Leurs demission peut-etre effective, je pense que les chercheurs sont des femmes et des hommes responsables pour faire ce qu'ils disent. (pas comme un certain Juppé de Bx). mais il y a deux paramètres principaux qui ont été occultés 1 leurs démissions peut étre refusée et si il ne se présentent pas sur les lieux de recherche ils seront considérés comme absents et pourront etre soumis a des sanctions. 2 leurs démissions est accepté par les directeurs de labos (par mesure de soutien au mouvement); Et là le risque pour la recherche est le plus important car des labo etranger à la France peuvent faire des offres alléchantes aux chercheurs démissionnaires et ainsi priver la France d' une grande partie de sa matière grise. et pour conclure imagine simplement que le quart des labos Français perdent les chercheurs cela induira : moins de brevets, moins d'emploi, moins de finances, moins de projets et pour finir la destruction finale de notre recherche a trés court terme. Refléchissez les amis a+ druidmichel bon matin aux lévent tôt. |
| | Pauvres chercheurs ! La majorité des chercheurs maintiennent leur menace à la démission, pour le mardi 9 mars, si le gouvernement ne trouve pas rapidement une solution concernant les crédits alloués à la recherche en France. Pour seule réponse, monsieur Raffarin annonce 3 milliards d'euros d'ici à... 2007, et jusqu'à 3% du PIB en 2010. Peut-être a-t-on du mal à trouver des crédits, mais quand même : 3% du PIB alloués à la recherche, voilà qui semble vraiment ridicule (à moins que le PIb ne soit énorme...) C'est même se fiche de la recherche et des scientifiques ! Pourtant ils ne demandent pas grand'chose (même pas des augmentations de salaire). Monsieur Raffarin ne semble pas se rendre compte de la diminution inquiétante de postes de doctorants, de la disparition progressive des bourses. Quand un chercheur est obligé de payer lui-même les cartouches d'encre de l'imprimante du labo, qu'il doit parfois se rendre à des séminaires de à ses frais... ça fait quand même pas sérieux. Il y a un moment où même la débrouille ne suffit plus à maintenir la bonne marche d'une étude La question restant : vont-ils ou non démissioner mardi 9 mars ? Ca fait quand même plus de la moitié des labos ! |
|
|