Sujet :

Le suicide de l'Adj. Jambert.

papymougeot
   Posté le 02-04-2004 à 09:17:09   
G. P.
[02 avril 2004]

Lorsque sept jeunes handicapées mentales disparaissent dans l'Yonne entre 1977 et 1979, Christian Jambert, adjudant de gendarmerie en poste à la brigade de recherche d'Auxerre, constate que les intéressées «se trouvaient toutes dans l'environnement d'Emile Louis».

En 1979, le militaire transmet au parquet d'Auxerre son enquête sur l'une des disparues, Martine Renault, qui met en cause le tueur en série présumé. L'affaire est classée sans suite. Jambert persiste et, en 1981, place Emile Louis en garde à vue après la découverte du corps d'une huitième jeune femme. Le suspect bénéficie finalement d'un non-lieu dans ce dossier pour «charges insuffisantes». Nullement abattu, le gendarme adresse encore, en juin 1984, un rapport de synthèse sur les «disparues de l'Yonne» au procureur d'Auxerre. Le document est enterré en toute illégalité pendant quinze ans.

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Encore surement de hautes personnalités à protéger ?

Bizarre "suicide" de l'Adj. Jambert, qui a réussi à se loger deux balles dans la tête !

Emile Louis, il y a eu l'affaire Allègre, Dutroux en Belgium -

Toutes ses affaires morbides ont été plus ou moins enterrées !

Drole de justice quand même ! Non ?
gaillard
   Posté le 02-04-2004 à 10:42:07   
pour moi il ne fait pas de doute que des protections ont joué ! les "hommes" détenant des pouvoirs de justice, police, d'argent,...sont comme le commun des mortels.
pour ne pas être dominé par un "supérieur" tu l'imagines le matin sur le siège en train de pousser ! il est aussi "ridicule" que les "inférieur".
nous avons connu, les anciens s'en souviendrons, l'époque des ballets roses ! autre scandale.
quand des pervers détenant des pouvoirs s'assemblent ils édifient un cordon d'autoprotection. chacuns garantissant la protection du groupe.
seule solution pour enquêter et traiter ce genre d'affaires, déborder la zone de protection : dépayser à la fois l'action de la police et de la justice.

@ ++